Transferts ? Transferts ? Vous avez dit transferts ?
Ce truc où l’on se creuse la tête pour savoir comment l’on y va (parce qu’il faut y aller), par où l’on passe (parce qu’il y a plusieurs chemins), combien de temps l’on met (parce que tout est « timé » dans notre métier), et avec quel engin (parce qu’il y en a marre du car, ce véhicule à… combien de roues déjà ? plusieurs en tous cas, avec une climatisation toujours ou trop forte pour le devant, ou pas assez pour l’arrière, des malades en car, et des irréductibles qui sont debout et ne mettent pas la ceinture). Bref, puisque nous ne sommes pas avares de conseils, voici quelques idées testées par nos Bazarettes de choc. Séverine, capitaine au long cours, a testé les transferts en bateaux : gros bateaux privatisés et petits bateaux « passent partout » pour rejoindre Cassis, les ports de pêche marseillais ou les calanques de la Côte Bleue. Idéal puisqu’aucun bouchon… Et en cas de grosse mer, on assure puisque l’on garde un car (6 roues, non ?) jusqu’à J-2 sans frais.
Anaïs, qui se voyait bien conductrice de TGV comme papa, a testé le petit train privatisé : il circule dans tous les recoins, là où les cars (à moins que ça ne soit 4 roues ?) ne passent pas, une petite bière La Cagole au départ, et une aération toute naturelle. Exit le côté kitch et vive la liberté !
Et moi-même qui me rêvais bêcheuse tout comme B. Bardot, j’ai testé le transfert en Harley Davidson. Un pick up à l’aéroport, un stop à Notre Dame de la Garde, un roadtrip sur la Corniche, un final sur la Gineste. Mieux que des mots, une petite vidéo… Merci à nos amis motards. Et pour ceux qui savent… dites-moi, combien de roues alors ce fameux car ???